Kevin Katoto Kitenge, un photographe congolais à la conquête du monde
Kevin Katoto Kitenge est un photographe contemporain né en 1997 à Lubumbashi, en République démocratique du Congo. Passionné par le dessin et la peinture, il a choisi la photographie comme moyen d’expression créative et de narration. Ses œuvres mettent en lumière la beauté et l’identité culturelle africaine, en jouant avec les couleurs, les formes et les lumières.
Il vient de réaliser un exploit : ses photos ont été publiées dans un magazine d’art international, PEPPER Magazine, qui se distingue par sa sélection exigeante et sa promotion des artistes émergents. C’est un honneur pour lui de voir son travail reconnu à l’échelle mondiale.
“Je suis ravi de cette opportunité qui me permet de montrer ma vision artistique et de partager ma culture avec le monde”, confie-t-il. “C’est une véritable reconnaissance de la qualité de mon travail et de ma singularité.”
Cette publication est une étape importante dans sa carrière artistique, qui a déjà connu plusieurs succès. En 2022 , année au cours de laquelle il a été l’un des six lauréats du programme “AFRICA HERE”, organisé par le célèbre artiste nigérian Osinashi, qui lui a permis d’exposer ses œuvres à la Scope Art Show de Miami. En 2023, il a participé à l’événement “NFT TALLINN” en Estonie, où il a présenté sa collection “Memory and Creation”, composée de sept œuvres uniques explorant des thèmes comme l’amour, la spiritualité, le genre et la technologie.
Il ne compte pas s’arrêter là : il est impatient de continuer à explorer de nouvelles idées et à repousser les limites de sa créativité. Il espère que cette reconnaissance lui permettra d’atteindre un public plus large et de partager sa passion pour la photographie avec le monde entier.
“La photographie est pour moi un moyen de communiquer sans mots, de transmettre mes émotions et mes pensées. C’est aussi une invitation à la réflexion et à la découverte. Je veux que mes photos soient une porte ouverte vers un autre monde, où les frontières n’existent pas.”
Yannick Kaumbo